La tige d’amaryllis (hippeastrum) dont je surveillais l’éclosion s’est cassée sous le poids de la fleur. D’abord, je pleure ( non, quand même pas !) devant ma plante décapitée, puis je peste contre la fragilité des amaryllis forcées pour la saison froide, et enfin je réfléchis à la meilleure façon d’accommoder la hampe florale sectionnée.