Les roses en hiver dans la maison, n’y pensons pas trop… mais un peu quand même.
Pour les autochtones ci-dessus, on peut tenter le bouton de rose dans un soliflore mais franchement il y a peu de chance qu’il se développe harmonieusement. Il vaut mieux le laisser se fossiliser dans le froid et décorer le gris du ciel.
Si la rose de l’hiver de nos jardins ne rentre pas dans la maison, il y a évidemment la tentation des belles exotiques. Boostées aux pesticides et dotées d’une empreinte carbone king size, elles nous tendent les bras et leurs corolles parfaites. J’avoue, il m’arrive de succomber, même si ce n’est que très rarement, à une botte de roses produites à contre-saison au bout du monde.