Première rencontre : au ras du sol .
En effet, mes premiers asters au jardin étaient du genre alpinus, c’est à dire nains. Les jolies touffes de marguerites roses , ont fleuri quelques printemps ( oui, car l’alpinus est nain mais précoce, c’est un aster de printemps ! ) dans une plate bande rocailleuse et un peu sèche. Puis un jour : plus rien, nada, les asters ont disparu . C’était l’époque où, jardinière débutante et naïve, je pensais que lorsqu’on plantait un truc vivace c’était pour toujours ! La leçon d’impermanence appliquée au jardin étant digérée , j’ai enrichi mon expérience. Depuis, j’ai compris qu’il fallait diviser non pas pour régner mais pour conserver ses asters…
De Instagram au blog, il n’y a qu’un pas que j’ai franchi pour admirer ces beaux asters ! J’aime !
Merci pour la visite et ravie de partager mes asters!